PSA GM OPEL

ce matin comem d'habitude je suis l'ouverture de la bourse et de quelques entreprises que je suit de prêt et je tombe la dessus, en voyant près de +8% du tradable de PSA



(Boursier.com) -- Le titre PSA s'envole de plus de 7% dans les
premiers échanges à la Bourse de Paris, porté par des rumeurs d'alliance
avec General Motors, partiellement confirmé par le principal
intéressé...
Le constructeur automobile français a ainsi indiqué
qu'il examinait "des projets de coopérations et d'alliances", mais il
n'a pas identifié ses interlocuteurs... "Des discussions sont en cours
et il n'y a aucune certitude qu'elles aboutissent", a ajouté le groupe
sans autre précision.
Quelques heures plus tôt, les sites internet
de 'LaTribune.fr' et du 'Financial Times' affirmaient que PSA était en
négociations avancées pour un mariage avec le géant américain General
Motors, déjà propriétaire d'Opel en Europe. GM n'a pas commenté ces
rumeurs, se contentant d'indiquer que "GM discute régulièrement avec
d'autres (constructeurs) dans le secteur, mais n'a pas de commentaire (à
faire) sur cette information précise".
Selon 'LaTribune.fr', les
discussions ont été "entamées il y a plusieurs mois" entre PSA et GM, et
elles sont récemment "entrées dans leur phase finale". Selon une source
officieuse, ces discussions sont "avancées" et visent "une alliance,
pas des coopérations ponctuelles". Toutefois, elles "n'ont pas encore
abouti, il n'y a pas d'accord à ce stade", a ajouté la source citée par
'LaTribune.fr', qui estime tout de même possible une annonce début mars,
à l'occasion du salon automobile de Genève...
Une alliance avec
GM permettrait notamment à PSA d'accroître sa présence à
l'international, où le premier constructeur français peine à rivaliser
avec ses grands rivaux mondiaux. Encore très exposé à la France et
l'Europe, où le marché automobile devrait encore reculer cette année,
PSA a vu ses ventes baisser de 1,5% dans le monde en 2011, tandis que
son bénéfice net a fondu de moitié à 588 Millions d'Euros.
Dans ce
contexte difficile, les rumeurs vont bon train depuis des mois sur un
possible rapprochement de Peugeot avec un autre constructeur, notamment
avec l'italien Fiat-Chrysler... En 2010, une tentative d'alliance avec
le japonais Mitsubishi avait échoué après de longues négociations. En
janvier dernier, le nouveau directeur des marques de PSA, Frédéric
Saint-Geours, avait indiqué que le groupe était "tout à fait ouvert" à
l'idée d'un mariage, à condition de "trouver le bon partenaire"...

A suivre, mais surtout lire des journaux comme Wallstreet Times et Frankfurter Algemeine, il faut des informations des deux cotés.

A savoir que Irmscher est déjà préparateur pour Peugeot, peut-être un jour il y aura une Opel made in France !

PSA Peugeot Citroën, à la peine, discute avec General Motors


Le constructeur automobile français PSA Peugeot
Citroën, à la peine, cherche à se rapprocher d'un autre constructeur et
a entamé des discussions avec le géant américain General Motors, ce qui
a provoqué mercredi un envol spectaculaire du cours de Bourse à Paris
du constructeur.






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photo : Lionel Bonaventure, AFP




Le ministre du Travail, Xavier
Bertrand, a fait savoir mercredi que le président du directoire de PSA
Peugeot Citroën l'avait informé la veille "de ces discussions pour un
partenariat stratégique". Interrogé sur Europe 1, il a refusé de dire
quelle forme pourrait prendre ce rapprochement mais a assuré que ceci
était une bonne nouvelle pour l'emploi.


L'Etat français n'est pas actionnaire du groupe. PSA a refusé de commenter ces propos.


Selon le site internet
Latribune.fr, "les discussions entre les deux groupes entamées il y a
plusieurs mois sont entrées dans leur phase finale" et ils pourraient
profiter du salon automobile de Genève, début mars, pour officialiser
leur mariage.


Pour le Financial Times en
revanche, les négociations portent plus sur une coopération entre le
français et la branche européenne de GM, Opel/Vauxhall, pour développer
conjointement des moteurs, des systèmes de transmission et des véhicules
qui seraient vendus sous leurs marques respectives.





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Elles n'impliqueraient pas en revanche d'échanges de participations, selon les sources citées par le FT.


PSA a confirmé dans la nuit de
mardi à mercredi mener des discussions pour un éventuel rapprochement
avec un autre constructeur, mais sans donner de nom.


"Dans le cadre de sa stratégie
de globalisation et d'amélioration de sa performance, PSA Peugeot
Citroën examine des projets de coopérations et d'alliances", a-t-il dit
dans un communiqué laconique. "Des discussions sont en cours et il n'y a
aucune certitude qu'elles aboutissent", est-il encore précisé.


A la Bourse de Paris, les
investisseurs se sont rués sur les actions PSA, qui ont clôturé en
hausse de 12,06% à 16,13 euros dans un marché en repli de 0,52%.


La CGT de PSA Sochaux et la
fédération métallurgie de la CFDT se sont inquiétées elles du "risque
social important" en cas d'alliance capitalistique.


General Motors, de son côté, a
refusé de confirmer l'existence de pourparlers avec le français: "GM
discute régulièrement avec d'autres (constructeurs) dans le secteur mais
n'a pas de commentaire (à faire) sur cette information précise", a
indiqué à l'AFP un porte-parole.


L'américain cherche une
solution pour ses activités européennes, déficitaires. Sa direction a
entamé des discussions avec les syndicats en Europe pour réduire les
coûts.


- alliance ou coopération -


PSA, de son côté, s'était déjà
dit en janvier ouvert à un mariage, mais le prétendant évoqué alors par
la presse italienne était le constructeur italo-américain
Fiat-Chrysler.


Mais son directeur des marques
Frédéric Saint-Geours estimait que les conditions d'une alliance
n'étaient pas remplies et que la priorité du numéro un français et
numéro deux européen (loin derrière Volkswagen) était plus à tenter de
redresser ses ventes et ses résultats.


PSA a écoulé en effet 1,5% de
véhicules en moins dans le monde l'an dernier, à 3,5 millions d'unités.
Son bénéfice net a été divisé par deux à 588 millions d'euros, une
mauvaise performance due à la faiblesse de sa branche automobile qui
elle, a plongé dans le rouge.


Du coup, le groupe doit se
serrer la ceinture et repousser certains projets jugés non stratégiques,
comme celui d'une implantation en Inde, alors même qu'il veut se
renforcer à l'international.


Le constructeur français
coopère déjà avec nombre de ses concurrents: avec l'allemand BMW pour
les moteurs essence, l'italien Fiat et le turc Tofas pour les
utilitaires légers, l'américain Ford pour les moteurs diesel, le
japonais Mitsubishi pour les SUV et les véhicules électriques, le
japonais Toyota pour les petites voitures et le français Renault pour
les moteurs et les organes mécaniques.


Mais le groupe semble de plus
en plus isolé face aux mastodontes du secteur, qu'ils se développent
seuls comme GM, Toyota ou VW ou par des mariages comme Fiat-Chrysler ou
Renault-Nissan.


Il y a deux ans, PSA avait
tenté de s'allier au japonais Mitsubishi mais l'opération avait échoué.
Le projet avait été enterré en mars 2010. La presse avait alors fait
état d'une certaine réticence de la famille Peugeot, détentrice de 30,3%
du capital et 45,74% des droits de vote.

certaines informations plus haut sont erronés, la pseudo fusion entre mitsubishi a bien opérée. collaboration pour certaines plateformes, et moteurs,

peugeot ne collabore pas avec bmw pour les moteurs essences, mais pour les moteurs diesel. et ce depuis 2004.

une alliance avec le groupe GM entrainera immédiatement une collaboration avec fiat chrysler (accompagné de lancia et alfa, ferrari etc... y compris hyundai qui collabore déjà avec eux,) puisque gm collabore avec le groupe fiat, leurs moteurs diesel par exemple, et une partie de l'architecture électronique.

les moteurs FIAT ont fait beaucoup d'efforts, mais si opel était équipé de moteurs peugeot (les diesel HDI) cela ne serai pas un mal, leur fiabilité est plus reconnue que fiat, et la consommation moindre, par contre l'entretient est plus fréquent chez peugeot et plus couteux
encore une fois peugeot est très cher, ils ont la plateforme de moteur la plus distribuée au monde (Peugeot Citroen, mitsu, Ford, BMW) et pourtant l'entretient est couteux.

ceci dit les HDI ont certaines qualités comme l'important couple et dynamisme à bas régime, mais leurs boites a vitesse sont à chier.

l'important étant que opel récupère les qualités motoristiques de PSA et pas les plateformes châssis (lamentables comparés à opel) ni carrosserie, (porte, carrosserie, toit, qui vieillissent mal, particulièrement les joints, et l'ensemble des pièces mobiles souffrent d'un manque apparent de qualité.

The Wallstreet journal 22-02-2012






By Christoph Rauwald


Many auto makers teamed up in recent years to reap economies of scale
and share costs, but a tie-up between Peugeot Citroën and General
Motors in Europe would raise the question why the two companies should
achieve together what they failed to do independently so far: post solid
profits in Europe.

Joining forces for selected projects in the fields of engines,
powertrains or other technology might make sense, depending on terms and
conditions of a possible deal. But it remains doubtful this would be
sufficient to make the two car makers’ European operations financially
viable in the long run. More needs to be done to improve cost efficiency
on both sides and increase the presence outside the anemic European
market.

The European car market has been shrinking for years and the industry
is squeezed by around 25% overcapacity, which eats into profits and
puts fierce pressure on prices in the region.




Unlike in North America, car makers avoided large-scale cutbacks in
Europe during the industry slump in 2008 and 2009, partly due to
political resistance.

Morgan Stanley analyst Stuart Pearson said Monday in a note that he
believes among the mass-market manufacturers in Europe only Germany’s
Volkswagen AG and South Korea’s Hyundai Motor Co. can be profitable in
2012.

It is good news for Peugeot shareholders, however, that management
seems to have realized it needs to take action. The company still relies
heavily on European sales and is unlikely to boost market share in
emerging countries soon, which means it needs to streamline costs in
Europe sooner rather than later or risk substantial losses this year.

The issues that GM’s European Opel brand faces are quite similar,
even though its parent firm is in a much better financial condition
again after the state-backed bailout and a short stint in Chapter 11.
But stopping the losses in Europe takes top priority at the Detroit
headquarters as the U.S. government still owns a stake of around 26% in
GM and faces controversial debates about its holding ahead of the
presidential elections scheduled in November.

The discussion about excess production capacity in Europe, however,
is set to continue for the time being until concrete and potentially
unpopular steps are taken. But apart from the unresolved capacity issue
it still remains anything but certain that Peugeot and GM can reap
significant cost synergies in Europe anytime soon even if a deal is
signed.

The car industry is littered with examples of ill-fated alliances.
Peugeot tried to link up with Mitsubishi a couple of years ago, but the
deal fell apart over different valuations. Daimler sold Chrysler in 2007
after burning through billions of euros and Renault-Nissan’s talks with
GM about an alliance in 2006 ended up with bruises on both sides. The
recent clash between Volkswagen and Suzuki amid cultural differences
offers a fresh reminder that Peugeot and GM might have a long way to go
before any decent cost synergies can be reaped.

ce qui est bien c'est que hormis des allusions politiques du côté de wallstreet journal, le son de cloche est identique.

à la cloture, PSA annonce une hausse de un peu plus de 12%, ce qui est très bien pour mon porte monnaie, ceci dit l'action peut très vite retomber, actionnaires, surveillez vos portefeuille les transactions vont être mouvementés.